L'Exilé, Edward Sparre

Prénom : Edward
Nom : Sparre
Surnom : L’Exilé
Description physique :
1M89, brun,  50 ans, son visage est corrompu, tout comme son corps entier pas le côté obscur. Ses yeux sont rouges sang, il porte souvent un masque, le corps est assez musclé. Il a de nombreuses cicatrices.

Description morale : Il est adepte de l’utile et du savoir. Il pense que l’Empire ne peut s’en sortir qu’à partir du modèle des Anciens, la clef se trouve dans les écrits. Sociable, il préfère cependant la réflexion et le silence, il a un mépris considérable pour les Républicains, il lui sera impossible d’en épargner un.

Style de combat & compétence :
Il combat le plus souvent à distance et maîtrise les pouvoirs de la force.
Il a donc une compétence inférieure au combat au sabre.

Compétences  de combat :
Tempête de force, éclairs de force, barrière statique et flash foudroyant.
Compétences autres :
Pilotage, déchiffrage des inscriptions siths & artefacts.

[ Mémoires d’ Edward Sparre, l'Exilé]
« L’Histoire est le savoir,  la mémoire est l’Histoire, tout sith devraient écrire son savoir. »

Mon Histoire commence à Dromund Kass, planète capitale de l’Empire. Nous étions deux frères, et vivions au sein même de la Capitale. Mes parents étaient de hauts dignitaires impériaux, évidemment tout cela suscite l’intérêt.  A l’âge de 4 ans, j’ai tué mon premier homme sous les yeux inertes de mes deux parents qu’il avait lâchement tué. Plus tard, on m’a dit que mes cries et mes pleures avaient fait explosé la tête de l’agresseur.
La réalité est tout autre, en sentant le danger j’avais sorti le blaster que mon père cachait sous son lit et j’avais fait prendre les dimensions de l’univers à la tête cet agresseur. Ensuite, mon frère et moi nous fument séparés.  Persuadé que j’avais des compétences dans la Force, le Moff Plégius m’amena sur Korriban, du moins au dessus, mon frère lui resta avec le Moff.

Voilà comment commença l’Académie,  elle avait un gout de poussière, de terre et de sang. Les cours théoriques s’enchainaient, le Code sith puis l’Histoire des grands qui ont fondé notre civilisation, la perte de l’Empereur, la fondation de Dromund Kass... Puis la pratique, elles grouillaient, et grouillent toujours ces limaces. Très vite j’essayais d’apprendre les écritures siths dans les temples, souvent j’étais dérangé, par une limace ou un Acolyte qui était en manque de sang. Durant 10 ans j’ai survécu à cette planète, 10 ans avant de trouver un maitre capable de m’enseigner ce que je ne savais pas. Evidemment, avant de partir j’ai remercié comme il se devait mon surveillant et mes camarades. Une mort rapide, après tout ils n’avaient juste eu pas de chance de tomber sur meilleur qu’eux, autant ne pas s’embêter à les faire souffrir.

La suite fut plus mouvementée encore, au départ mon maitre m’emmena de nouveau  sur la capitale, entre intrigues politiques et Services secrets impériaux ce n’était pas de tout repos. Mais je passais mon temps à lire les archives impériales. Puis vint l’heure d’embarquer à bord du croiseur de commandement de la Vème flotte.  Nous étions les désigné pour affronter la République, mon premier sang.
Tout d’abord, en me battant avec le vaisseau de classe Fureur puis à l’intérieur du croiseur républicain, je n’avais jamais pris autant de plaisir et eu autant de sang sur les mains qu’en ce jour. C’est également là, que je dû affronter mon premier jedi. Il se disait chevalier, il se bâtait avec honneur et une certaine classe, ça n’a pas suffit.  De nombreuses péripéties du genre ont suivi celle-ci. Je fus d’ailleurs nommé Seigneur.
Une chose me resta en travers de la gorge, mon maitre ne m’avait pas révélé tout son savoir avant de mourir. C’est ce qui me perturbait le plus. Comment il est mort ? IL a simplement perdu la tête quand il avait menacé mon frère venu me retrouver. Les combats contre la République continuais, je m’étais illustré à de nombreuses reprises à travers les combats spatiaux tout en menant des recherches sur la Force. Elles m’avaient conduit sur Voss.

Voss, je ne peux pas supporter cette planète, il fallait toujours cohabiter avec la République qui négociait le contrôle de la planète. Mais je pus nouer quelques contactes là bas.  
Puis, j’eu le titre de Darth,  le pouvoir m’avait donné la victoire, mais elle n’était que personnelle. Zakel et sa flotte arriva, ma flotte ne pu faire face, tous étaient morts, et moi je fus laissé pour mort à bord de mon vaisseau Fureur…
Plus de titre, plus d’Apprenti, plus de soldats. Je réfléchissais quand des visions me montrait la faiblesse de l’Empire que je croyais invincible. La victoire des sith devenait alors impossible pour celui qui  ne voyait que son intérêt.
Pendant 5 ans alors, je suis resté en exil sur Voss, méditant dans le sanctuaire de la guérison, attentifs aux perturbations, et aux visions.  Parfois des Hommes de Zakel venaient mais jamais bien longtemps. 5 ans de méditation sans action…
Le temps de la vengeance approche tout comme le temps de la construction d’un Empire sain.

Chapitre I : Intégration.


Edwardd eut finalement rejoint l'armada des Ombres suivant ce mystérieux sith au sang pur. Il rencontra plusieurs membres, un seigneur souvent pressé et cruel du nom d'Arjûna, un Darth mystérieux du nom d'Andhakara qu'il prit en sympathie tout comme l'apprenti Aranthas.
Il comprit cependant qu'ici, dans cette nouvelle armée résistante il fallait faire ses preuves, et qu'ainsi son titre de Darth devait et devra être mérité. Mais avant de se lancer dans une reconquête de titre, il fallait retrouver sa force d'antan, et pour cela, il fallait passer dans le monde spirituel.

Au cours d'une première expédition avec l'Armada Edwardd vit son esprit corrompu à l'entrée du temple noir de Dromund Kass, fort heureusement la sœur du généralissime qui l'avait envoyé lui et ses compagnons réussit à le libérer. Evidemment, sith oblige elle voulue récupérer le bien qu'ils étaient venus chercher, elle aura été remercié par une mort rapide.

Entre les opérations, Edwardd sympathisa avec l'apprenti Aranthas, qu'il combattait souvent dans l'arène de la base de l'Armada. Il prenait plaisir à lui enseigner des techniques, ou bien simplement voir les progrès de celui-ci. Cela lui rappelait son ancien apprenti mort pour la gloire de l' Empire. C'est à ce moment qu'il se posait la question d'avoir un apprenti ou pas.

Lors de la deuxième opération, sur Korriban, une épreuve conscistait à sortir des ruines avec comme seuls alliés son sens de l'orientation et la force. Or, alors qu'il arrivait à la fin du parcours, l'esprit tourmenté d'Edwardd succomba de nouveau aux maléfices siths. Finalement libéré par l'invocation du code sith par l'un des apprentis présent, il partit méditer un long moment, et se remit de nombreuses fois en question avant de finalement décider de résoudre son problème spirituel. Il lui fallait quelqu'un d'encore plus spécialiste que lui, le Darth Andhakara paraissait la meilleure option.


Chapitre II : Résolution.


La participation d'Edward au sein de l'Armada était appréciée, et il avait lié quelques lien avec le Darth Andhakara qu'il respectait, mais restait cependant toujours méfiant. Il était finalement allé la voir, lui exposant ses problèmes spirituels. En effet, ses conflits internes s'étaient réveillés après son départ du temple de la guérison de Voss et son esprit voyait ses barrières céder une à une sans qu'il ne puisse rien faire.
Andhakara lui proposa alors, après un temps de réflexion une première solution, un rituel permettant de créer une barrière à l'encontre des attaques mentales, cela serait la première étape.

Après plusieurs jours, de méditations, et de concentration, Edwardd était prêt à suivre le rituel. Il entra en méditation au côté du Darth, puis il réapparaissait devant ses souvenirs, les morts qu'il a perdu, sans pouvoir réagir, à ce moment là le Darth lui murmurait des instructions qui lui permettaient de petit à petit construire des barrières contre ces souvenirs pour le moins gênants.
Après plusieurs heures, Edward avait constitué sa première barrière seulement, par encore assez forte, car le Darth l'eu balayé en un instant. Il s’entraîna alors de son côté pour parfaire ses barrières spirituels.

Les progrès se faisaient ressentir, il repris gout au combat et au sang, et devenait plus libéré dans ses gestes. Seulement, tout cela ne faisait que ralentir la progression de ses démons intérieurs. Un rituel encore plus puissant et dangereux pour lui comme pour le Darth devait pouvoir le guérir. Au départ rituel de torture, il devait servir à soigner un esprit. Une première pour Edwardd comme pour le Darth.

Chapitre III : Vie et tonnerre.

Beaucoup de temps se sont passés entre le premier rituel et le second. Ente temps, Edwardd continuait à s’entraîner retrouvant ses réflexes au sabre et redevenais bien à l'aise dans les combats. Si bien qu'à l'entrainement il évitait de sortir son sabre, sauf en cas de nécessité urgente.

Pendant un temps, il eu même de nouveau un apprenti, ancienne jedi elle voulu venger sa famille et son mari, elle était animée par cette haine et ce désir. Il commença à lui apprendre la base du code sith et l'art du combat sith. Il l'initia à la torture avec un autre apprenti du nom de Nêox. Premier pas réel qu'elle fit vers le côté obscure.
Seulement comme il fallait s'y attendre, le côté obscure eut été plus fort qu'elle, il le rongeait. Ainsi, son arrogance ressortait de plus en plus, jusqu'à cracher sur Edwardd, son maître.
La tolérance de l'ancien Darth restait tout de même faible aux insultes et au manque de respect, cet Homme qui aimait la discipline Impériale et détestait inutilité et perte de temps avait en face de lui ce qu'il détestait le plus : Un semi-sith trop arrogant pour son rang et trop sûr de lui.
Il fit combattre son apprenti contre Aranthas pour lui donner d'abord une première leçon, sa défaite ne suffisait pas à lui apprendre.
Considérant, qu'il ne servait plus à rien et que l'esprit de son apprenti était trop faible pour le côté obscure Edwardd garda son apprenti en captivité, puis voyant inutilité de l'action il finit par la tuer lui même en lui déclarant : " L'hérésie naît ne l'inaction".

( Héhé merci ! Bientôt j'espère :p)

Chapitre IV : Athiss.

https://enclavecrepusculaire.forumgaming.fr/t400-campagne-recherche-sur-le-patrimoine-sith-athiss-en-cours

Tout est décrit à cet endroit.

Chapitre V : Recherche et développement.


Depuis son retour d'Athiss Edward était concentré sur deux points de recherches bien différents.
Tout d'abord il y avait ce qu'il rapportait d'Athiss, des tablettes anciennes et plusieurs heures d'images à déchiffrer. Un travail long et studieux, d'autant qu'il n'avait jamais eu un vrai intérêt pour les Kressh. Peut-être naîtra t'il avec le temps ?
Mais il fallait le faire, il était bien curieux de connaitre quelle force avait pu contrôler une partie de ses hommes, quelle force ou quel artefact. La chose était certaine, il faudrait y retourner un jour, et il devait se préparer à cela.
Alors qu'il était assis dans la bibliothèque de l'Enclave, il repensait à cet exil et à tous les événements qu'il avait raté.
Puis il se remit au travail. Les traductions avançaient mais pour l'instant il n'avait rien trouvé...
D'un autre côté, il avait enquêté sur une éventuelle base Rakata non-découverte par la République ou l'Empire. Il pensait que cela pourrait donner un avantage considérable à l'Enclave.
Et de ce côté les recherches avançaient, il avait trouvé une sorte de boite, renfermant quelque chose, mais il ne savait pas quoi, et il ne pouvait s'y risquer seul.
Edward se concentra alors sur les alentours afin de savoir s'il y avait une bonne âme qui pourrait servir officiellement d'aide, officieusement de cobaye. C'est finalement une acolyte qui passait qui fut choisie. Par quelques mensonges, Edward la fit s'asseoir et finit par la convaincre de l'aider dans ses recherches.

L'opération allait être périeuse, il fallait tout d'abord que le seigneur s'introduise dans l'esprit de l'acolyte pendant que celle-ci introduise le sien dans cette boite. A son étonnement, cela fonctionnait. La boite renfermait en réalité des données protégées par trois "portes" que l'esprit devait franchir.
La tâche ne fut pas aisé pour l'acolyte, elle faillit y laisser la vie à plusieurs reprise, le seigneur la sauva d'une mort certaine, sans nul doute. Mais cela en valait la chandelle. Alors que les trois épreuves furent passés, le seigneur se déconnecta de l'acolyte et récupéra la disquette de données qui venait de sortir de cette mystérieuse boite.

L'acolyte avait été secouée mais au moins cela avait renforcé son esprit.

Quelques jours après, Edward avait enfin déchiffré ce que renfermait les données, elles indiquaient un lieu sur la planète Belsavis.
Logique se disait-il, mais il allait falloir ruser, il n'est pas aisé de ce rendre sur cette planète en toute discrétion.
Il rappela la même acolyte avec lui, après tout elle avait failli se sacrifier pour cela, autant continuer. Ils prirent le vaisseau d'Edward et finirent par arriver en orbite. Ce que craignait Edward ne tarda pas à arriver. L'holocomunicateur sonna, " Ici la station impériale de Belsavis, veuillez saisir votre code d'identification".
Edward avait gardé les codes des diverses bases spatiales impériales, c'était un avantage de diriger une flotte. Il espérait seulement qu'ils étaient encore justes.
Il appuya sur le bouton et d'un ton assuré il dit :" 6231".
Un silence lourd retenti alors, si le soldat ne reconnaissait pas le code, il faudrait filer en vitesse, et toutes ses recherches n'auraient abouti à rien.
" Tout est en ordre, vous pouvez vous amarer à la baie B34." dit finalement le soldat.
On pouvait sentir le soulagement du Seigneur, et sans doute aussi celui de l'acolyte.

Tout se passa sans encombre jusqu'à l'arrivée sur la planète. Ils marchèrent de longues heures jusqu'à un ancien téléporteur Rakata.
Le seigneur se concentra un moment, il avait déjà activé ce genre d'objet, il tendit les mains puis quelques instants plus tard, la longue tige qui étaient au dessus d'eux commençait à tourner. Elle allait de plus en plus vite, créant des éclairs de toute part, puis ce fut le néant.

Les deux explorateurs se relevèrent doucement, puis ils contemplèrent leur réussite avant de reprendre la route. Après avoir traversé une nouvelle partie extérieure, ils entrèrent dans une sorte de temple, c'était là, tout prêt...
Ils explorèrent les recoins avant de tomber sur une immense salle centrale bornée de colonnes et au centre se trouvait ce qu'ils cherchaient.

C'est en examinant l'objet qu'Edward compris, ce n'était pas un temple, c'était là encore une prison. Et la réponse qu'il attendait était détenue par ce qui était dans cet engin.

A suivre...